WIND IS DRIVING HIM TOWARDS THE OPEN SEA.THE

«David Brooks parvient à y mêler un certain nombre de techniques qui n’ont à ce jour été utilisés que dans le cinéma non narratif et poétique, telles que le photogramme unique, des mouvements de caméra libres et impressionnistes, une absence presque totale d’intrigue, etc. L’autre chose que j’aime dans «The Wind», c’est la mélancolie fascinante qui le baigne. Sa narration d’humeurs, de réflexion, de choses perdues, disparues, comme des feuilles d’automne - sans vraiment rien de tragique, juste une ambiance de mélancolie, de tristesse - d’amis, de modes de vie, de cultures disparues, d’époques qui vont et viennent - pour ne citer que quelques cordes pincées par ce film. Romantisme ? Peut-être.» - Jonas Mekas, Movie Journal.

Contient :
- «Jerry» (1963, 3’)
- «Nightspring Daystar» (1964, 17’)
- «Winter» (1966, 16’)
- «Letter to D.H. in Paris» (1967, 4’)
- «Eel Creek» (1968, 7’)
- «The Wind is Driving Him Toward the Open Sea» (1963, 50’)
- «Carolyn and Me 1-2-3» (1969, 90’)